Dans la cuisine africaine , le piment est indéniablement un ingrédient capital, qui , d’après les cuistots et autres consommateurs « relèvent le goût » des plats…d’aucuns vont même jusqu’à dire que manger sans piment, c’est fade. …pour moi, il le dénature plutôt ! Oui, je ne consomme pas de piment. Avant, je m’en foutais royalement de l’état de santé de la coopération bilatérale piment-sauce…mais ça c’était avant: une chanson populaire est venue tout changer.
Depuis le choix de ce sujet imposé, j’ai du accepter de la communauté internationale du Blog contest la reconsidération de mon opinion sur ce tandem. J’ai constaté que ce duo ami/ennemi n’a eu cesse de rythmer l’histoire de l’humanité au fil des ans. La relation piment-sauce est plus dangereuse que Bonny & Clide, plus délicate que la relation Etats Unis-Russie, plus épique que le combat Jean Claude Van Damme – Bolo Yung, plus populaire que le classico Real-Barça (Hala Madrid). pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, le piment et la sauce dans le contexte de cet article (sujet imposé, ndlr) c’est la relation conflictuelle entre l’homme et la femme.